les trous partout gâchent tout
2 steloj
Averto pri enhavo la dévaluation des vies racisées, l’écrasement des piétons
Quant au langage, ce petit roman (ou cet essai trop long) était facile à lire, presque complètement confortable pour quelqu’un comme moi. C'est à dire que j’aurais pu le lire avec n’importe combien d’emploi d’un dictionnaire me convenait, dès si si si beaucoup pour mieux comprendre, à absolument aucun du tout pour réfléchir sans interruption. (Et voilà, tellement plus de grammaire m’amuse que je peux bien reproduire) !
Alors, en ce qui a concerné l'histoire et les messages du livre ? Encore confortable ? Euh… pas exactement. Les idées n’étaient que (quelquefois) utiles. Mais utiles pour qui ?
Évidemment, Gounelle essayait de faire quelque chose de didactique. Le texte était plein de dialogues, un peu socratiques, entre un guérisseur balinais et un professeur occidental, cependant l’écrivain manquait la précision dont on a besoin dans ce genre‐là, comme philosophe. J’estime qu’il la manquât aussi comme psychothérapeute (et caetera), mais quoi sais‐je ?
Déjà agaçant (selon moi), Gounelle exerçait la licence du genre du fiction pour échapper le besoin de la preuve et ce de la citation des sources.
Néanmoins ces dialogues — entre lesquels l’auteur a monté quelques petites leçons demonstratives et également médiocrement‐conçues‐mais‐assez‐bien‐écrites, qui se passait autour de l’île — étaient trop simples, en présentant la philosophie elle‐même du livre d’une manière assez arrogante et cruelle. Le prof et son conte souvent si succulent de voyage cultivaient ce que m’a semblé de temps en temps en temps l’air raciste. Et de plus, même les classes dèsquelles la grande sagesse est censée à être crue favorisaient l’habitude du bavardage misogyne !
Alors, retournons à la route… sans trop du soin, car renverser un groupe des gens qui croient en réincarnation : eh bien, tant pis, hien ? En effet, le mec que nous suivons s'amuse beaucoup en en pensant. Le plus éclairé qu’il devient, le pire il (se)? conduit (ses pensées?) (sa voiture louée?) en général.
Au restes, à la fin, des mystères divers restent jusqu’à la fin, et toujours après. Par exemple, comment comprend le narrateur français ses voisins hollondais quand le couple se parle dans l’intimité, en croyant probablement que lui leur voisin n’est pas là ? Es‐ce que tous ces touristes parlent toujours en anglais (comme son guérisseur), ou qu’il parle l’hollondaise, ou… en tout cas, pourquoi ? C’est un peu bizarre. Tout est toujours trop commode.