Inégal mais pur classique par moment
4 steloj
Le passage sur la guerre et sur la vie aux US est inoubliable, le reste ça dépend
Lingvo: English
Eldonita je 23-a de januaro 2006 de New Directions Book.
Celine's revulsion at what he considered the idiocy and hypocrisy of society bursts from nearly every page of this novel. Written in urgent and explosive language, Journey to the End of the Night is a literary symphony of violence and cruelty. The story of the improbable travels of the petit-bourgeois (and largely autobiographical) antihero, Bardamu-from the trenches of World War I, to the African jungle, to New York and the Ford factory in Detroit, and finally to life in Paris as a failed doctor-takes the reader by the scruff as it hurtles toward the novel's inescapable conclusion. Ralph Manheim's translation captures the savage energy of Celine's original French, while a dramatic afterword by William T. Vollmann echoes Celine's volatile writing style and gives the reader a dynamic, contemporary perspective on the fury of this astonishing novel. Louis-Ferdinand Celine's (1894-1961) novels include Death on the Installment Plan and Guignol's Band, both …
Celine's revulsion at what he considered the idiocy and hypocrisy of society bursts from nearly every page of this novel. Written in urgent and explosive language, Journey to the End of the Night is a literary symphony of violence and cruelty. The story of the improbable travels of the petit-bourgeois (and largely autobiographical) antihero, Bardamu-from the trenches of World War I, to the African jungle, to New York and the Ford factory in Detroit, and finally to life in Paris as a failed doctor-takes the reader by the scruff as it hurtles toward the novel's inescapable conclusion. Ralph Manheim's translation captures the savage energy of Celine's original French, while a dramatic afterword by William T. Vollmann echoes Celine's volatile writing style and gives the reader a dynamic, contemporary perspective on the fury of this astonishing novel. Louis-Ferdinand Celine's (1894-1961) novels include Death on the Installment Plan and Guignol's Band, both published by New Directions. William T. Vollmann is the author of Europe Central, which won the National Book Award for fiction in 2005, The Atlas (winner of the 1997 PEN Center West Award), and Seven Dreams: A Book of North American Landscapes. (from the publisher)
Le passage sur la guerre et sur la vie aux US est inoubliable, le reste ça dépend
Desole pour le manque d'accents, mon clavier n'en a pas.
J'ai longtemps hesite avant de lire ce classique car je connaissais l'antisemitisme passione de l'auteur. En general les extremistes en toutes choses ont un discours qui m'ennui tres vite. Ils repetent toujours la meme chose de maniere similaire ou differente mais toujours la meme chose. Je me suis enfin resolu a le lire pour me rendre compte que ce que je craignais se realisait: en gros on peut resumer les quelques 400 pages par ces mots: chienne de vie, nous sommes des vers pourris sur une terre pourrie. Ce sont mes mots mais je crois que je traduis assez fidelement le message de l'auteur. Il a bien sur son stlyle a lui et fait souvent de bonnes trouvailles mais la repetition incessante rend la lecture lassante. N'allez pas m'assassiner pour la comparaison mais il m'a fait penser a La Putain …
Desole pour le manque d'accents, mon clavier n'en a pas.
J'ai longtemps hesite avant de lire ce classique car je connaissais l'antisemitisme passione de l'auteur. En general les extremistes en toutes choses ont un discours qui m'ennui tres vite. Ils repetent toujours la meme chose de maniere similaire ou differente mais toujours la meme chose. Je me suis enfin resolu a le lire pour me rendre compte que ce que je craignais se realisait: en gros on peut resumer les quelques 400 pages par ces mots: chienne de vie, nous sommes des vers pourris sur une terre pourrie. Ce sont mes mots mais je crois que je traduis assez fidelement le message de l'auteur. Il a bien sur son stlyle a lui et fait souvent de bonnes trouvailles mais la repetition incessante rend la lecture lassante. N'allez pas m'assassiner pour la comparaison mais il m'a fait penser a La Putain de Nelly Arcan. Toujours la meme hargne repetee sans repit.